Moulin de Rouger, Encausse-les-Thermes

canal d’amenée

En 1851, Mme Doueil demande à la mairie d’Encausse-les-Thermes l’autorisation de maintenir l’activité de son moulin à farine.

Référence : « REGLEMENT D’EAU PROCÈS VERBAL DE VISITE DES LIEUX », en date du 1er Octobre 1852.

Des documents des archives montrent que des travaux ont été demandés et effectués par Mme Veuve Doueil en 1859. Elle demande une hausse de la hauteur du seuil qui n’est pas régulier (ce qui est toujours le cas).

Le plan de 1860 montre que la Veuve Doueil était propriétaire du moulin et des terres autour, la parcelle en face en traversant la passerelle où il y avait l’ancienne pharmacie d’Encausse. Cette parcelle est restée dans la famille jusqu’à ces dernières années.

Le plan cadastral de la fin de XIXème siècle atteste aussi de l’existence d’un canal d’irrigation qui démarrait au seuil et qui irriguait les prés rive gauche du Job.

Le moulin a arrêté de fonctionner au début du XXème siècle.

Aujourd’hui encore le moulin est occupé par les descendants de la famille Saint Martory-Doueil.

le seuil et la vanne, le pont d’Encausse en arrière-plan
Le moulin de Rougé avant restauration en 1985